avertissement : Le risque peut effectivement devenir paralysant quand on se focalise trop sur tout ce qui pourrait mal tourner.
Cette paralysie vient souvent de :
L'amplification mentale - On imagine les pires scénarios en boucle, qui deviennent plus réels que la réalité elle-même. L'échec hypothétique prend plus de place que l'action concrète.
Le perfectionnisme - Attendre le moment "parfait" ou la garantie absolue de succès, qui n'arrivent jamais. On préfère l'inaction "sûre" à l'action "risquée".
La peur du jugement - Ce n'est souvent pas l'échec lui-même qui paralyse, mais ce que les autres pourraient penser.
Pourtant, l'ironie c'est que l'inaction comporte aussi son propre risque : celui du regret, des opportunités manquées, de la stagnation. Ne rien faire est aussi un choix, avec ses propres conséquences.
Les personnes qui avancent malgré tout ne sont pas forcément plus courageuses - elles ont souvent juste appris à tolérer l'inconfort du risque, à l'apprivoiser plutôt qu'à le fuir. Elles commencent petit, accumulent des preuves que le risque est surmontable.
Essayez de comprendre pourquoi vous hésitez à entreprendre ?
les principes de la gestion des risques
Les étapes principales
1. Identification des risques On recense tous les risques possibles : risques financiers, opérationnels, stratégiques, juridiques, technologiques, environnementaux, etc.
2. Évaluation des risques Chaque risque est analysé selon deux critères : sa probabilité d'occurrence et son impact potentiel.
Cela permet de les prioriser et de créer une cartographie des risques.
3. Traitement des risques Plusieurs stratégies sont possibles :
- Éviter le risque en renonçant à l'activité
- Réduire le risque par des mesures préventives
- Transférer le risque (assurance, sous-traitance)
- Accepter le risque si son impact est acceptable
4. profil du risque : évaluer sa tolérance aux fluctuations et adapter l'allocation d'actifs en conséquence.
4. Surveillance et révision Les risques évoluent avec le temps, il faut donc les surveiller régulièrement et adapter les mesures de contrôle.
confrontation de la stratégie peur du KRACH avec les principes ci-dessus
| quoi | paramètre |
|---|---|
| risque financier | perte de plus de 10% sur le dernier plus haut récent- cas du krach |
| probabilité d'occurrence | 2 krach en 15 ans |
| priorité | numéro 1 |
| cartographie | évènement majeur sur la planète |
| assurance | peur du krach : VENTE sans discernement de tous les fonds et etf actions sur baisse ETF monde de plus de 10% en 10 séances |
| acceptation du risque | perte de 10% |
| contre mesure | revenir dans le marché en achetant sur croisement haussier du MACD du directeur ETF monde |
Les épisodes de krach . 2022 est une correction larvée
conclusion
La gestion des risques est fortement conditionnée par le mental de l'investisseur. Peu armé, il n'ose pas jouer son épargne dans le système financier qu"il ne maitrise pas.
Il est évident qu'avant d'investir il faut prévoir la parade si cela se passe mal.
ici, s'agissant des placements boursiers, l'assurance "peur du krach" permet de se protéger et surtout de limiter la profondeur des pertes en cas de krach.
la perte transitoire de -10% est un peu inférieure à la performance annualisée de ETF monde qui est de l'ordre de 13% .
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